Si la peinture murale apparaît dès la préhistoire avec les grottes de Lascaux, c’est au Moyen-Âge puis à la Renaissance que se situent les grandes découvertes techniques.
La technique de la fresque suppose un travail préparatoire du mur important et l’utilisation de la chaux ; au contraire, la peinture murale requiert une préparation plus (...)
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L’art mural en Essonne
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L’art rupestre en Essonne
L’art rupestre est un art conçu par les hommes à différentes époques sur les parois rocheuses. En Essonne, les gravures prédominent : on parle d’abris ou de grottes ornés.
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Les châteaux forts en Essonne
Evolution du château féodal et des tours maîtresses en Essonne à travers 4 édifices caractéristiques : la tour de Montlhéry, la tour Guinette à Etampes, le château de Dourdan et le château de Farcheville.
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Histoire de la collecte de l’eau
La vie des hommes a été subordonnée de tout temps à la présence de l’eau ; ils se sont efforcés à chaque époque d’en trouver les sources, de la domestiquer, de la transformer puis de la purifier.
Cet élément naturel, ressource indispensable, est aussi un moyen de distinction sociale et s’accompagne de toute une symbolique.
L’Essonne compte de nombreux lavoirs, puits et fontaines au titre de son (...) -
Le galet gravé
A Etiolles, sur le site préhistorique fouillé depuis plusieurs années, a été découvert en 2000, un galet avec sur ses deux faces de très fines et exceptionnelles gravures :
chevaux en mouvement, créature étrange ; ce qui constitue un des plus anciens exemples de pierre gravée de la région (environ 12 000 ans). -
L’Essonne des hôpitaux : de la charité à la santé publique
L’approche de la maladie et des établissements de soins a beaucoup évolué.
L’Essonne a accueilli, dès le haut Moyen-Âge, de nombreux hôpitaux, hôtels-Dieu, maladreries ...
L’évolution du traitement de la santé et des édifices d’accueil en Essonne est présentée en onze panneaux. -
La Meunerie et la navigation sur la Juine au Moyen-Âge et sous l’Ancien Régime
Du XVe siècle au XVIIe siècle, l’axe fluvial constitué par le port d’Etampes, la Juine, l’Essonne, le port de Corbeil puis la Seine jusqu’à Paris fit d’Etampes le plus gros marché de la Beauce et du Hurepoix pour l’approvisionnement de la capitale et de la vallée de la Juine, un couloir commercial extrêmement prospère.
Le meunier était un personnage important, il contrôlait un secteur vital et entretenait (...) -
De la maison sur catalogue au lotissement
Les maisons préfabriquées sont présentes dès le début du XIXe siècle.
Les congés payés et l’invention des vacances, la création de lignes de chemin de fer, enfin l’attrait de la campagne pour les Parisiens, et particulièrement ce qui deviendra l’Essonne, incitent les citadins à se loger à moindre coût.
Les lotissements sont l’organisation, par les entreprises privées, de constructions en nombre, puis par (...) -
Les matériaux du bâti
Nos maisons des derniers siècles, même les plus modestes, parlent des « pays » où elles ont été construites.
L’Essonne comporte quatre territoires géographiques distincts : la Beauce, la Brie française, le Gâtinais français, le Hurepoix.
L’exposition se propose de présenter des éléments architecturaux souvent méconnus et de décrire leur évolution et les différents matériaux de construction (...) -
Les mégalithes en Essonne : des pierres entre ciel et terre
Le patrimoine mégalithe (bloc de pierres de grandes dimensions, dont on fait un usage monumental : menhirs, dolmens, allées couvertes) est très important en Essonne.
Premières formes d’architecture connues dans le monde, elles apparaissent en Europe 2000 ans avant les pyramides d’Egypte ; elles sont l’oeuvre des hommes du Néolithique (environ -4000/-2000) et témoignent d’une période capitale dans (...)