Lettre d’Information Sciences Essonne - Avril 2016

Edito de Françoise Bellanger, présidente de l’association Sciences Essonne.

Elue à la présidence de Sciences Essonne le 8 avril dernier, je tiens d’abord à remercier les adhérents et les membres du bureau qui me font confiance pour conduire aux destinées de l’association.

Pendant 5 ans Daniel Ouillet a présidé SE, il a permis à l’association d’avoir un poste de coordinatrice en CDI, et le nombre de ses adhérents et ses ressources ont augmenté, je salue son action.

SE va avoir dix ans, il convient de réfléchir à son développement dans sa future décennie. Pour ce faire, un séminaire sera organisé le 4 novembre prochain. Ce sera l’occasion d’établir un bilan de son action eu égard à ses objectifs et de définir un projet pour les années à venir afin d’assurer son rôle de réseau auprès de ses adhérents, de la région, du département, dans un souci de mutualisation des efforts pour une meilleure diffusion de la culture scientifique auprès de tous les publics et en particulier les plus éloignés de la science.

Les projets engagés se poursuivent comme les Questions d’actualité et les Rencontres.
Le projet « métiers de la science et de l’innovation » s’organise autour d’un inventaire des actions menées par les adhérents auprès des scolaires pour présenter la science, en profitant de ces rencontres entre chercheurs et élèves pour mettre l’accent sur les métiers de la recherche et la façon d’y accéder. Pour élargir le champ scientifique au-delà de la recherche publique SE va rechercher des entreprises désireuses de s’engager dans le projet. Pour renforcer la connaissance des métiers scientifiques par les jeunes, SE propose d’organiser des stages de découverte de l’entreprise par des élèves de troisième dans les laboratoires publics et privés susceptibles de les accueillir. Un forum final réunissant chercheurs, médiateurs scientifiques et élèves se tiendra au printemps 2017.

Je souhaite vivement que SE poursuive pleinement son rôle de mise en réseau des différents acteurs de la culture scientifique -qu’ils soient producteurs ou passeurs de science- en continuant à s’appuyer sur les compétences de ses adhérents et en les encourageant à mutualiser leurs efforts dans des budgets de plus en plus contraints et ce pour donner au plus grand nombre le goût des sciences.